L’occupant sioniste ne peut plus
prétendre contrôler la ville d’al-Quds, qui est en ébullition depuis le mois de
juin 2014. Plus de six mois après l’assassinat de l’enfant Mahmoud Abu Khdayr,
les Maqdissis sont toujours en révolte, dans la plupart des quartiers de la
partie Est occupée en 1967, l’autre partie ayant subi un nettoyage
ethnico-religieux en 1948.
Mettant à profit le silence arabe
et musulman, les autorités sionistes accélèrent la purification
ethnico-religieuse de la ville sainte d’al-Quds. Comme ils l’ont fait depuis la
première colonie installée à la fin du XIXème siècle, les sionistes établissent
des faits sur le terrain, sans se soucier des organisations internationales ou
des réactions des pays amis et alliés. Ils poursuivent la colonisation,
l’expulsion des Maqdissis, la profanation des lieux saints et la répression de
tous ceux qui relèvent la tête et refusent leur ordre colonial. Les Maqdissis
l’ont compris, jeunes et vieux, femmes et hommes. C’est pourquoi ils résistent
et ils tiennent bon. Ils ont déjà, en l’espace de 6 mois, brisé le pseudo-calme
colonial qui régnait sur la ville.
I - Al-Quds occupée : résistance palestinienne
Malgré le silence des médias, la
révolte des Maqdissis se poursuit. Pas un jour ne passe sans qu’ils
n’affrontent les occupants sionistes, dans tel ou tel quartier de la ville. A
al-Tour, She’fat, Issawiya, Jabal Mukabber et ailleurs, les jeunes et moins
jeunes prennent possession des quartiers et lancent toutes sortes de
projectiles sur les soldats et colons, et leurs voitures et véhicules armés.
Des dizaines de jeunes ont lancé des projectiles sur les voitures de la police
à She’fat, peu après l’arrestation de deux jeunes, qui avaient lancé des
pierres sur le tram, brisant ses vitres. Dans At-Tour, c’est après
l’arrestation d’un enfant que les affrontements ont eu lieu entre les jeunes et
la police de l’occupation. A Issawiya, le 19/1, les jeunes affrontent la police
sioniste qui a installé des barrages et fouillé les véhicules à l’aide de
chiens policiers. Le 20/1, les protestations de jeunes se sont poursuivis à
Issawiya suite à l’arrestation de Ussama Dari.
Le 8/1, des jeunes affrontent les
policiers sionistes dans le quartier Saadiya, à Bur al-Luqluq dans la vieille
ville. Plusieurs jeunes sont blessés. Le 9/1, des jeunes lancent des pierres
sur les voitures de la police sioniste dans at-Tour. Le soir même, des
affrontements ont lieu dans la rue al-Wad dans la vieille ville. Le 10/1, les
jeunes dans Selwan incndient une voiture appartenant à des colons. La police
sioniste est intervenue et après des affrontements, elle a arrêté 7 jeunes et
brutalisé leurs parents. A She’fat, le 27/1, une femme de la police sioniste a
été blessée suite à des affrontements, où les jeunes ont lancé des pierres sur
les véhicules de la police. L’enfant Mohammad Sa’id Uwayda, 10 ans, a été
arrêté.
Les fidèles maqdissis s’opposent
à des colons qui profanaient la mosquée al-Aqsa : avec l’aide des gardiens
de la mosquée, les fidèles, hommes et femmes, sont parvenus à chasser les
colons juifs qui entendaient faire des rites talmudiques à l’intérieur de la
mosquée.
Les Maqdissis de Jabal Mukabber
ont décidé de protester devant le tribunal au moment où la cour sioniste
traitait un projet de démolitions de maisons de la municipalité, refusé par la
population.
Des colons de Atarot ont été la
cible des pierres et des coktails molotov lancés par des Maqdissis le 18.1,
ainsi que des colons de « Beit Myuhis » près de Ayn Selwan. Le 8/1,
un colon a été poignardé près de Bab al-Amoud.
II - Al-Quds occupée : asphyxie et purification ethnico-religieuse
Le service des impôts sioniste,
responsable de la collecte de l’impôt sur les propriétés (Arnouna) lance une
campagne d’intimidation et de poursuite contre les commerçants et les habitants
de la vieille ville d’al-Quds. Il a envahi le 13/1 un studio photographique et
un restaurant et confisqué tout ce qui s’y trouvait. Il a également envahi une
usine qui fabrique du matériel de construction à Selwan, et a réclamé la somme
de 15.000 shekels. Ce service est l’un des appareils de l’entité coloniale
visant à expulser les Maqdissis de leur ville en les soumettant à des impôts de
plus en plus lourds. Dr. Hanna Issa, secrétaire général du conseil
islamo-chrétien pour le soutien à al-Quds et les lieux saints a déclaré que
l’impôt prélevé par l’occupation sioniste dénommé Arnouna dans la ville
d’al-Quds n’est qu’un moyen pour expulser les Palestiniens de leur ville et
capitale
L’occupant a détruit la maison de
Alayan Rabay’a, dans le quartier Farouk à Jabal Mukabber dans al-Quds occupée,
sous le prétexte que la construction n’a pas de permis. Le propriétaire a
déclaré qu’il avait essayé pendant des années d’avoir un permis, des autorités
de l’occupation, mais celles-ci n’ont pas répondu. Sa maison de 60 m2, neuve,
n’a pas encore été entièrement payée.
Le tribunal de l’occupation a
rejeté le recours réclamé par le maqdissi Ayed Casteero, contre les autorités
de l’occupation qui projettent de démolir une partie de sa maison car cette
partie empêcherait l’air et la lumière d’entrer dans l’appartement volé par un
colon. Cela se passe dans le quartier historique d’al-Qarmi, dans la vieille
ville. M. Casteero a déclaré que la décision est politique, les colons
cherchent à s’emparer de sa maison depuis 1987, car elle donne sur la mosquée
al-Aqsa.
L’institution al-Maqdissi a
publié son rapport annuel concernant les démolitions de maisons dans la partie
Est de la ville d’al-Quds occupée, au cours de l’année 2014 : depuis 2000
jusqu’à la fin de 2014, l’occupant a détruit 1342 bâtimments, de logements ou
non, et mis à la rue 5760 personnes, dont 1506 femmes et 3031 enfants. Au cours
de la seule année de 2014, 112 bâtiments ont été démolis par l’occupant,
certains par les propriétaires eux-mêmes, sous la contrainte des sionistes. Ces
démolitions ont eu pour conséquences l’expulsion de 341 personnes, dont 199
enfants. L’Institution al-Maqdissi ajoute que les conséquences sociales et
psychologiques des démolitions sont importantes, puisque les occupants font
également payer le prix des démolitions et les diverses amendes pour
« constructions illégales », pour obliger les Maqdissis à abandonner
volontairement leur ville.
L’entité sioniste décide d’enterrer
les français juifs morts au cours de la fusillade aux environs de Paris, au
début du mois de janvier, dans Jabal Zaytoun, à al-Quds. Alors que les morts
musulmans sont déterrés des cimetières de la ville (Ma’manullah, cimetière
historique musulman), l’épuration ethnico-religieuse touche même les morts.
Dans son importante étude sur la
colonisation sioniste dans la ville d’al-Quds, parue dans la revue des Etudes
Palestiniennes (n°101 arabe), Nazmi Jumaa écrit que depuis 1967, l’entité
coloniale a construit 55.000 unités de logements dans les colonies situées dans
la partie Est de la ville d’al-Quds. Il donne ensuite des détails à propos des
colonies : 1 - « Giv’at Ha-Matos » construite sur les terres de
Beit Safafa et la ville de Beit Jala à la limite sud-ouest de la partie Est de
la ville. Il est prévu d’y construire des hôtels et d’autres bâtiments sur une
superficie de 900 dunums (des propriétés appartenant aux réfugiés en majorité).
La seconde phase de la colonisation prévoit de construire sur les terres
d’al-Walaja près de 5000 unités locatives, ce qui coupera entièrement le lien
entre al-Quds et Beit Jala. 2 - La colonie « Ramat Shlomo » a été
implantée en 1990 à 5 kms des murs de la vieille ville d’al-Quds et comprend
20.000 colons. Dans la colonie « Ramot Alon » proche de celle-ci, du
côté nord-ouest, l’occupant prévoit la construction de 200 unités de logement
(novembre 2014). L’extension de la colonie se fait aux dépends des terres de
Beit Hanina, ce qui risque d’étouffer Beit Hanina et She’fat, et de couper la
ville d’al-Quds de plusieurs villages situés au nord-ouest de la ville (Beit
Iqsa, Beer Nabala, Jayb, Qibya, Beit Annan, Beit Liqya, Biddu, Qatana et Beit
Daqqu) qui seront entièrement encerclées par les colonies. 3 - La colonie
« Har Homa » construite sur Jabal Abu Ghnaim en 1997 s’agrandit de
plus en plus et comprend 30.000 colons. La colonie pille les terres de Beit
Sahour et de Sour Baher. Il faut ajouter à cela les colonies implantées au cœur
des quartiers palestiniens.
III – Al-Quds occupée : répression
Le conseil aux affaires des prisonniers
et libérés a publié ses récentes statistiques, faisant état de l’arrestation de
plus de 1500 enfants Maqdissis depuis le mois de juin dernier. Les tribunaux
militaires imposent des condamnations sur les enfants, en plus des sommes
d’argent à payer, soit en « détention à domicile » soit en les
expulsant de leurs quartiers. Si l’enfant ne respecte pas la condamnation, ce
sont les parents qui sont arrêtés et emprisonnés. 37 enfants ont été expulsés
et 253 placés en « détention à domicile ».
Les autorités de l’ocupation ont
fermé les sièges de deux associations, « musulmanes pour al-Aqsa » et
« al-Fajr », les accusant de soutenir les Palestiniens présents dans
la mosquée al-Aqsa. Ces deux associations se situent dans al-Nasra (Nazareth)
dans la partie de la Palestine occupée en 1948.
Les forces de l’occupation ont
lancé une campagne d’arrestations le 8/1 suite à une opération contre un colon
qui a été poignardé dans Bab al-Amoud. 7 jeunes ont été arrêtés. Le 9/1, deux
jeunes ont été arrêtés à Ras al-Amoud, dans Selwan, alors qu’ils s’amusaient
dans la neige. Le 10/1, 8 jeunes ont été arrêtés à Selwan, et le 11/1, le
Shabak prétend avoir arrêté l’auteur du coup de poignard contre deux membres
des gardes-frontière il y a deux semaines, il s’agirait de Moussa Mohammad
Ajlouni, 20 ans.
La police sioniste a arrêté deux
femmes maqdissies, Samiha Shahine et Nevine Masri à leur sortie de la mosquée
al-Aqsa. Elles ont été emmenées au poste de police puis relâchées plusieurs
heures après.
Le juge d’un tribunal sioniste
dans al-Quds a décidé le 8/1 de libérer sheikh Umar Abu Sara (50 ans) de prison
mais de l’éloigner pendant 60 jours de la mosquée al-Aqsa, avec paiement de
2000 shekels, et une détention à domicile de 6 jours, pour avoir fait un sermon
jugé « incendiaire » contre les sionistes.
Deux Palestiniens ont été
arrêtés, accusés d’avoir planifié l’explosion du centre commercial
« Mamilla », centre commercial des sionistes installé sur le
cimetière de Ma’manullah.
Le 14/1, les autorités de
l’occupation ont lancé une campagne d’arrestations dans plusieurs quartiers de
la ville d’al-Quds. 11 Maqdissis ont été arrêtés, la plupart étant des mineurs.
Murad et Rami Bkayrat de Sour Baher ont été arrêtés dans leur maison, à
Izariyyé, les forces de l’occupation ont agressé Fadi Abu Ziyad, avant de
l’arrêter dans sa maison, qu’elles ont mises à sac. Les deux enfants Youssef
(12 ans) et Alaa Salah (15 ans) ont été arrêtés à Selwan le 17/1, et les jeunes
Ammar Abu Sbeih et Haytham Jamal, à Bab al-Amoud, au centre d’al-Quds. La
maison des frères Issawi, Samer, Medhat et Shirine Issawi a été envahie le 15/1
à Issawiya, par l’occupant qui recherchait leur frère Ra’fat, pour l’arrêter.
Trois jeunes ont été arrêtés le 19/1, à Sour Baher. La journaliste Jouman Abu
Arfa a été arrêtée à la sortie de la mosquée al-Aqsa, et l’enfant Ahmad Ibrahim
Abu Jumaa, âgé de 11 ans, a été arrêté lors de la sortie de l’école.
Ce ne sont que quelques exemples
des arrestations pendant le mois de janvier 2015.
A At-Tour, un enfant de 10 ans a
été blessé à la jambe par une balle en caoutchouc lancée par les soldats de
l’occupation.
Les colons brisent les vitres des
voitures appartenant aux Palestiniens à Beit Safafa, au sud d’al-Quds, le 14/1.
Ils ont également envahi l’école à At-Tour et lancé des grenades lacrymogènes
lors de la sortie des écoles pendant que les soldats situés en face tiraient en
l’air, pour semer la peur et la terreur.
IV - Al-Quds occupée : les lieux saints
Une proposition de loi a été
avancée par une organisation sioniste concernant l’enregistrement de la mosquée
al-Aqsa dans le cadastre sioniste, pour achever sa judaïsation et la mainmise
totale sur le lieu sacré des musulmans. Le mufti d’al-Quds, sheikh Muhammad
Hussayn, a mis en garde contre de telles mesures, affirmant que la mosquée
al-Aqsa est un lieu exclusivement musulman.
Les colons envahissent la mosquée
al-Aqsa, prétendant qu’il s’agirait du « Mont du Temple ». Plusieurs
fois par semaine, et en groupes plus ou moins nombreux, les colons protégés par
la police sioniste poursuivent la profanation de la mosquée. Les gardiens de la
mosquée ont récemment remarqué que ces colons pratiquaient des rites autour de
colonnes de la mosquée, tel que ce serait écrit dans des livres juifs.
La police sioniste poursuit les
Maqdissis, et notamment les femmes, en leur interdisant l’entrée de la mosquée
pour 15 jours : 5 femmes et étudiantes ont été interdites d’entrer dans la
mosquée. Il s’agit de Hiba al-Hussaini, 28 ans, Safa’ Siyaj, 26 ans, Jaman Abu
Arfa, 23 ans, Baraa Natché, 17 ans et Insam al-Maghribi, 17 ans.
Les menaces de démolition pèsent
de plus en plus sur la mosquée al-Aqsa : plusieurs drônes lancés par des
colons sont envoyés au-dessus de la mosquée, les Palestiniens craignent que ces
drônes ne soient explosés à l’intérieur du périmètre de la mosquée. Les
gardiens de la mosquée sont parvenus récemment à empêcher deux de ces drônes de
survoler la mosquée, l’un ayant une caméra qui visait la mosquée al-Marwani et
l’autre en direction des cours internes. D’autre part, les sources sionistes
font état de l’arrestation le 9/1 par le Shabak sioniste d’un Américain qui
avait l’intention de faire exploser la mosquée al-Aqsa. Son ami, un soldat
sioniste, a également été arrêté pour le même motif. L’américain dénommé Levix
prétend avoir vu en rêve un taureau courant vers la mosquée et la faisant
exploser. Les autorités de l’occupation ne souhaitent pas être débordées par
des extrémistes, bien que les buts soient les mêmes.
Les creusements sous le prétexte
de fouilles sous la mosquée al-Aqsa se sont poursuivis ce mois de janvier, et
les autorités de l’occupation prétendent avoir trouvé « d’importants
détails », sans pour autant expliquer ce dont il s’agirait. Mais les
sources internes aux sionistes affirment que les creusements ont détruit
d’importants vestiges musulmans, à cause de l’utilisation d’appareils lourds.
Le 14/1, des rabbins et des
responsables du ministère sioniste des affaires étrangères ont profané la
mosquée al-Aqsa, à partir de la porte al-Maghariba. Le 18/1, ce sont des
groupes de colons extrémistes qui ont profané la mosquée, en compagnie de 35
membres des services sécuritaires sionistes. Le 20/1, 40 membres du ministère
de Liberman ont également profané la mosquée en compagnie de policiers de
l’occupation.
V – al-Quds occupée : Jabal al-Mukabber
Bourg de la ville d’al-Quds,
situé au sud-est. Rattaché à la ville par la municipalité de l’occupation.
Nombreux sont les martyrs tombés
pour protéger la ville et le Palestine contre l’invasion sioniste, originaires
de Jabal al-Mukabber. Le journaliste palestinien Rassim Ubaydat, lui-même de ce
quartier et ancien prisonnier, rappelle, dans un article, les noms de tous ces
martyrs tombés dès la première intifada. Jamal Abu Matar, puis le martyr Abd
Wirad Zaatara, lors du massacre de la mosquée al-Aqsa, les martyrs Hussayn et
Mustafa Ubaydat, au cours de la grève de la faim dans les prisons de
l’occupation, les martyrs Nidal Salhout et Mahmoud Halassa et Mamdouh Shuqayrat
et Anas Uwaysat, aux barrages de l’occupation. Le martyr Alaa Abu Duhaym a mené
une opération qualitative contre l’occupant, et les martyrs Ghassan et Uday Abu
Jamal ont suscité la panique au sein de l’establishment sioniste lors de
l’opération menée dans le village de Deir Yassine, épuré ethniquement après un
terrible massacre. Avant eux, le martyr Qassem Maghribi assassiné en 2008, Le
martyr Iyad Uwaysat assassiné à Sour Baher.
Après l’opération militaire menée
par les deux martyrs Ghassan et Uday Abu Jamal, les forces de l’occupation
visent tout ce qui bouge et ne bouge pas dans Jabal al-Mukabber. Des raids sont
régulièrement menés pour arrêter sa population, les entrées du quartier ont été
fermées par des blocs en béton, les amendes sont imposées sur toutes les
constructions, même celles qui sont construites depuis des dizaines d’années,
en prévision de la décision de l’occupant de les détruire. Récemment, les
maisons de Khaled Youssed Halassa et Imad Abu Mayala ont été démolies,
suscitant la colère et le soulèvement de la population. Les impôts se sont
alourdis, touchant les boutiques, les voitures et même les piétons, au moment
où les forces sionistes mènent des incursions, de jour et de nuit, dans le
quartier et les maisons.
Six membres des familles des
martyrs ont été expulsés de la ville, le dernier en date est le jeune Fares
Ayman Uwaysat, éloigné pour 5 mois. Les voix des plus extrémistes des sionistes
réclament que la population de Jabal al-Mukabber soit privée des droits sociaux
et médicaux. Des milliers de dunums ont été confisqués, depuis l’occupation en
1967, du village devenu quartier, au profit de la colonie « Tzion
Zahav », implantée en plein milieu de l’agglomération.
V - Al-Quds occupée : solidarité
A Berlin, en Allemagne, 150
jeunes ont participé à une conférence culturelle sur le thème de la ville
d’al-Quds, organisée par « jeunes allemands pour la Palestine ».
Une encyclopédie traitant de la
mosquée al-Aqsa est parue à Amman, en Jordanie, rédigée par l’historien
Mohammad Ghosheh. Elle comprend de nombreuses photos qui montrent les détails
des vestiges musulmans.
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